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La série web «Louis a capté!»

Un coiffeur découvre SUISA

Un coiffeur découvre SUISA
Le coiffeur Louis, joué par Dominik Gysin, découvre l’univers de SUISA dans une série web en six épisodes.
Texte de Giorgio Tebaldi
Coup d’envoi pour la série web de SUISA intitulée «Louis a capté!». Au fil des six épisodes, Louis, coiffeur, découvre l’univers de SUISA. Ce faisant, il comprend comment les manifestations et productions musicales sont organisées, rencontre des personnalités et se rend au siège de SUISA. Les épisodes seront diffusés à un rythme hebdomadaire et font écho à une campagne en ligne.

Dès le premier épisode, c’est le drame: une facture SUISA parvient à Louis pour la diffusion de la musique de fond dans son salon «Deux Cheveux». Le coiffeur n’a pas la moindre idée de ce dont il s’agit. Comment est-ce donc possible? Louis essaie de trouver des réponses.

Voilà la situation de départ de la série web de SUISA en six épisodes intitulée «Louis a capté! Qu’est-ce qui se cache véritablement derrière SUISA». Cette série a pour but d’expliquer ce que fait SUISA de manière simple et divertissante. Joué par Dominik Gysin, l’exubérant Louis, personnage principal, est le propriétaire d’un salon à Berne. Il n’a jamais entendu parler de SUISA et se demande pourquoi on lui envoie une facture à son salon pour de la musique de fond.

Comme Louis, de nombreuses autres entreprises, notamment les plus petites, se trouvent dans la même situation en Suisse. SUISA envoie chaque année près de 40 000 factures à de nouveaux clients potentiels. Il s’agit d’entreprises qui diffusent de la musique de fond pour distraire leurs clients/-es ou leurs collaborateurs/-trices et qui ont besoin d’une licence de SUISA pour cette utilisation. Bon nombre de ces entreprises n’ont jamais entendu parler de SUISA, bien que la Coopérative existe depuis maintenant 100 ans.

Clients/-es et musiciens/-iennes expliquent le rôle de SUISA

C’est précisément la raison qui a motivé le tournage de cette série web à l’occasion du centenaire de SUISA. Celle-ci a été conçue et réalisée par Maybaum Film. Ce qu’il y a de particulier avec cette série, c’est que ce ne sont pas les collaborateurs/-trices de la Coopérative qui expliquent comment SUISA fonctionne, mais bien les clients/-es et les musiciens/-iennes. La seule exception est un épisode qui se déroule au siège de SUISA. Et ainsi, au fil de la série, un organisateur de concerts, un co-organisateur d’une fête de village, le producteur de musique Henrik Amschler et les musiciens Marius Bear, Yvan Franel du groupe genevois Stevans et Loco Escrito vont expliquer à Louis ce qu’est SUISA et pourquoi il faut obtenir une licence pour utiliser de la musique en dehors du cadre privé et payer des redevances de droits d’auteur afin de rémunérer les personnes qui la créent.

Un épisode par semaine jusqu’à la mi-juin

Les six épisodes de cette série web, d’une durée comprise entre trois et cinq minutes, seront diffusés chaque semaine jusqu’à la mi-juin. On y aborde des thèmes tels que les redevances pour les concerts et autres événements, les différents droits pour la création de spots publicitaires (à la radio), la répartition des redevances de droits d’auteur par SUISA et la musique de fond dans les locaux commerciaux.

Campagne en ligne

La série web «Louis a capté!» fait écho à une campagne en ligne diffusée en parallèle ayant pour but de mieux faire connaître SUISA auprès de sa clientèle (potentielle) et du public. La campagne est réalisée par l’agence suisse de publicité numérique, de marketing et de conseil Attackera. Elle est également diffusée sur les réseaux sociaux de SUISA, Instagram, Facebook et LinkedIn.

La série web apparaît sur le site du centenaire de SUISA www.suisa100.ch.

Titelbild aus dem Video: Ein Mensch hält eine Rechnung mit SUISA-Logo in den Händen, quer über das Bild steht geschrieben: Episode 1 - What the SUISA!?

Dans le premier épisode intitulé «What the SUISA!?», Louis reçoit une facture de SUISA pour la musique qu’il diffuse dans son salon de coiffure. Il n’a jamais entendu parler de sa vie de SUISA et soupçonne qu’il s’agit encore d’une «arnaque à la zurichoise». Et même lorsque son client Ueli – lui-même musicien, incarné par Daniel Lehmann du trio de Ländler Azale – lui explique que SUISA est une bonne chose pour les artistes, Louis n’est toujours pas convaincu. Tout cela lui paraît très suspect.

Sa mère (jouée par Elvira Plüss) appelle immédiatement le service clientèle de SUISA qui lui confirme qu’il n’y a pas d’erreur: lorsqu’un commerce, comme le salon de Louis, diffuse de la musique de fond, celui-ci doit obtenir une licence de SUISA et s’acquitter des redevances de droits d’auteur. C’est SUISA, la Coopérative des auteurs/-trices et des éditeurs/-trices de musique qui perçoit ces redevances sur mandat des compositeurs/-trices, paroliers/-ières et maisons d’édition musicale, et qui les répartit à celles et ceux dont la musique est diffusée. Pour toutes informations complémentaires concernant la licence SUISA pour la musique de fond, veuillez vous rendre sur www.suisa.ch/3a.

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